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  • Parabolan (acétate de tremblement) 100 mg 10 ml – Muscle Pharma – Santana Pharma

    Parabolan (acétate de tremblement) 100 mg / 10 ml – Muscle Pharma

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    Le trembolone est l’un des stéroïdes anabolisants les plus puissants qui existent aujourd’hui et peuvent générer du gain de masse musculaire, de force et de perte de graisse – tout en même temps.
    Pour cette raison, le trembolone est également l’un des médicaments les plus polyvalents, car il peut être utilisé à la fois dans les cycles de gain de masse musculaire et la perte de graisse; il générera des gains expressifs quel que soit son objectif.
    Il n’est pas rare de voir des rapports de personnes qui ont fini par perdre de la graisse avec un tremblement de tremble.

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    La description

    Sur Trembolone

    Le trembolone est chimiquement une copie de Nandrolone (Deca Durabolin), mais avec des changements dans sa structure afin que l’hormone ait plus d’affinité avec les récepteurs androgènes et non aromatiser.
    Ces changements ont transformé le trembolone en l’une des hormones anaboliques les plus puissantes. Sur une échelle d’anabolisme et d’androgénicité, le tremblement est cinq fois plus fort que la testostérone elle-même.
    Pas étonnant que l’hormone ait été élevée à l’origine pour être utilisée dans les bovins, dans le but d’augmenter la prise de poids avant l’abattage ou d’éviter la perte de poids pendant le transport – et a très bien fonctionné au point de devenir un produit de base au milieu.

    Effets attendus

    Trembolone partage la plupart des caractéristiques attendues des stéroïdes anabolisants, tels qu’une augmentation de la synthèse des protéines, une rétention d’azote et un nombre accru de globules rouges, c’est-à-dire plus de masse musculaire, plus de force, plus de récupération, plus de vascularisation et plus de résistance.
    Ce qui diffère le tremblement des autres stéroïdes anabolisants, c’est leur force et leur efficacité dans la génération de ces caractéristiques (bien plus que tous les autres médicaments).
    Et en raison de son affinité pour les récepteurs androgènes, il facilite également la lipolyse, le contrôle du gain de graisse dans le gonflement et l’accélération de la brûlure des graisses dans les boutures.
    Trembolone améliore également l’efficacité avec laquelle le corps utilise les nutriments que vous mangez. Même ingérer la même quantité de nutriments qu’auparavant, c’est comme si le corps pouvait maintenant extraire plus de gains.

    Cycle de tremblement

    Premièrement, Trembolone n’est pas une drogue pour les débutants ou curieux. L’utilisation de ce médicament ne convient pas au premier cycle et aux personnes qui ne savent pas comment le corps réagit aux androgènes.
    Avec cela à l’écart, un cycle commun de tremblement a généralement des dosages entre 50 et 100 mg injectés un jour et non, pendant 6 à 8 semaines.
    Bien sûr, nous parlons d’une utilisation récréative et non professionnelle. Les culturistes peuvent utiliser beaucoup plus que cela et s’appliquer toujours tous les jours.
    Pour toutes les autres personnes, 50 mg ~ 75 mg de tremblement de tremble. N’oubliez pas que nous parlons de l’un des médicaments les plus forts qui existent, ne faites pas de comparaisons sauvages avec le dosage d’autres injectables.

    Effets secondaires du tremblement

    Si vous pensiez que Trembolona était «trop beau pour être vrai» est sur les effets secondaires que les choses commencent à avoir du sens.

    Tout comme le trembolone est l’un des stéroïdes les plus forts qui existent, il peut également générer les effets secondaires les plus forts (et ennuyeux).
    La plupart des effets secondaires générés par le tremblement seront très similaires à ceux d’autres stéroïdes et plusieurs d’entre eux dépendront directement de leur prédisposition génétique et de leur sensibilité individuelle.
    Le problème avec le trembolone est que lorsque les effets secondaires se produisent, ils peuvent atteindre un degré et une intensité plus élevés, au point de faire abandonner certaines personnes en utilisant le médicament ou d’abandonner le cycle en cours (c’est rare, mais cela arrive).
    Parmi les effets secondaires que le trembolone peut provoquer, les plus connus sont:

    Bien que le trembolone ne savoure pas (il ne devient pas les œstrogènes), il est toujours possible d’avoir une gynécomastie en raison de sa nature progenteuse. La progestérone a la capacité de stimuler le mécanisme des œstrogènes dans les tissus mammaires, provoquant le problème chez les personnes sensibles. Dans la plupart des cas, les médicaments inhibés à l’aromatase empêcheront le problème.
    Remarque: Pendant de nombreuses années, on pensait que le trembolone provoquait la gynécomastie à cause de la prolactine, mais des études montrent que le problème est causé par sa nature progestante et non à cause de la prolactine accrue.

    2 – perte de cheveux

    Comme tous les médicaments androgènes, le trembolone peut générer (assez) une perte de cheveux, mais uniquement chez les personnes prédisposées au problème. La quantité de cheveux que vous pouvez perdre dépendra directement de votre génétique.

    Un autre problème commun du trembolone est l’augmentation de l’acné, mais cela dépendra également directement de sa génétique et de sa prédisposition. Sinon, si vous n’avez aucune prédisposition, vous pouvez faire du vélo avec du tremblement sans même gagner une colonne vertébrale.

    4 – Changement de profil lipidique

    Le trembolone est l’un des stéroïdes injectables qui modifient le plus le profil lipidique; diminuer le HDL et augmenter la LDL de façon exponentielle.

    Il est essentiel que l’utilisateur ne soit pas prédisposé à avoir des problèmes de cholestérol avant d’utiliser du trembolone ou cela peut représenter un risque inutile qui ne vaut pas les avantages que le médicament apporter.

    5 – augmentation de la tension artérielle

    Même ne pas aromatiser (ne pas retenir de liquide), le tremblement peut encore augmenter la pression artérielle. C’est quelque chose qui devrait être surveillé pendant le cycle et les personnes qui ont déjà des problèmes artériels devraient s’éloigner du médicament (de tout médicament).

    6 – Suppression de la production naturelle de testostérone

    Tous les stéroïdes anabolisants supprimeront la production naturelle de testostérone, mais si d’autres médicaments peuvent prendre le temps de provoquer ces effets, le tremblement sera presque impossible à s’échapper et ne souffrera pas rapidement de tous les symptômes de la testostérone faible. Faire des cycles uniquement avec du trembolone n’est fortement pas indiqué.

    7 – L’enfer du tremblement

    De tous les effets secondaires du trembolone sont les plus inattendus qui font que certaines personnes abandonnent la drogue pour toujours. À première vue, ils semblent légers par rapport aux autres, mais ils peuvent se produire dans une telle intensité qu’ils transformeront leur vie en un enfer – donc le nom.

    Le tremblement a tendance à provoquer, chez certaines personnes, des symptômes d’anxiété, des changements d’humeur drastiques, de l’agressivité, de l’insomnie et même de la dépression (parfois tout en même temps).
    Ces symptômes peuvent se produire dans une mesure qui peut entraver la vie quotidienne de la personne, au point d’influencer les relations, de travailler et d’étudier, de sorte que certaines personnes déposent même le cycle en deux et ne se rapprochent jamais de la drogue. N’oubliez pas que ces effets peuvent varier d’une personne à l’autre.

    Information additionnelle

  • Turquía: Mujeres de todo el mundo exigen que se revoque la decisión de retirarse del tratado sobre la violencia de género

    Turquía: Mujeres de todo el mundo exigen que se revoque la decisión de retirarse del tratado sobre la violencia de género

    Mujeres de todo el mundo participarán hoy en el Día Mundial de Acción para protestar contra la decisión del presidente Erdoğan de retirarse del histórico tratado internacional sobre prevención y lucha contra la violencia contra las mujeres y la violencia doméstica.

    Diez años después de su firma, las mujeres hablan hoy con una sola voz para exigir que las autoridades turcas revoquen una decisión que pondrá en peligro la seguridad e incluso la vida de millones de mujeres y niñas.
    Agnès Callamard, secretaria general de Amnistía Internacional

    Las acciones —tanto en Internet como en persona, en el X aniversario del Convenio de Estambul— han sido organizadas por grupos de mujeres y de derechos humanos de todo el mundo.

    “Exactamente diez años después de su firma, las mujeres hablan hoy con una sola voz para exigir que las autoridades turcas revoquen una decisión que pondrá en peligro la seguridad e incluso la vida de millones de mujeres y niñas”, ha declarado Agnes Callamard, secretaria general de Amnistía Internacional.

    “En las semanas transcurridas desde que el presidente Erdoğan anunció su decisión de retirarse del Convenio de Estambul, se han estado uniendo las mujeres en Turquía y en todo el mundo. En lugar de sentirse amedrentadas, han salido a la calle. En lugar de sentirse desalentadas, se sienten estimuladas. Más que nunca, la gente está hablando del Convenio y comprendiendo su importancia.”

    En marzo, el presidente Erdoğan anunció, en un decreto presidencial, la retirada de Turquía del Convenio de Estambul. La decisión entrará en vigor el 1 de julio, pero las y los activistas exigen que las autoridades turcas la reconsideren.

    En lugar de sentirse amedrentadas, han salido a la calle. En lugar de sentirse desalentadas, se sienten estimuladas.
    Agnès Callmard, Amistía Internacional

    A Amnistía Internacional le preocupa que la retirada de Turquía no sea más que la punta de un peligroso iceberg populista. Con el uso de un marco retrógrado y tergiversado de “valores familiares”, varios gobiernos intentan hacer retroceder los derechos de las mujeres y de las personas LGBTI en toda Europa.

    Las voces de las mujeres en Turquía y en todo el mundo tienen el respaldo de la enérgica condena de la decisión de retirarse de dirigentes mundiales como Joe Biden y la presidenta de la Comisión Europea, Ursula von der Leyen.

    Pese a las medidas de confinamiento impuestas en muchos países, habrá acciones físicas en algunas capitales y protestas virtuales en las redes sociales, con gente vestida de color morado en solidaridad con las mujeres y niñas de Turquía.

    En la década transcurrida desde que se firmó, el Convenio de Estambul ha sido un instrumento crucial que ha contribuido a proteger a las mujeres de la violencia.
    Agnès Callmard, Amistía Internacional

    “En la década transcurrida desde que se firmó, el Convenio de Estambul ha sido un instrumento crucial que ha contribuido a proteger a las mujeres de la violencia. La retirada significaría incertidumbre, temor y un peligro real para millones de mujeres y niñas en Turquía”, prosiguió Agnes Callamard.

    “La amenaza de la violencia es algo que afrontan a diario mujeres y niñas de todo el mundo. Por eso la ratificación del Convenio de Estambul es tan importante y por eso la solidaridad internacional para protegerlo es tan vital.”

    Si desean más información o concertar una entrevista, pónganse en contacto con:
    Stefan Simanowitz, 
    stefan.simanowitz@amnesty.org +44 (0)20 3036 5599

    Si desean detalles y materiales de las acciones que se van a llevar a cabo en todo el mundo (materiales audiovisuales incluidos), visiten: https://oneamnesty.sharepoint.com/sites/app-secretariatopensend/_layouts/15/guestaccess.aspx?folderid=0df43922053a3465881da8d5aeaece1f6&authkey=ATvXF67x8TPifAGxeQPIKqc&e=TmbDGX

    INFORMACIÓN COMPLEMENTARIA

    El Convenio del Consejo de Europa sobre Prevención y Lucha contra la Violencia contra las Mujeres y la Violencia Doméstica, conocido como Convenio de Estambul, se abrió para la firma en Estambul, Turquía, tal día como hoy en 2011.

    Es el primer tratado europeo, y el tratado internacional de mayor alcance, que aborda la violencia contra las mujeres y la violencia de género en el ámbito doméstico. El Convenio estipula unas normas mínimas sobre la prevención de la violencia, la protección de las mujeres y niñas en situación de riesgo, y el enjuiciamiento penal de los perpetradores, y establece servicios de protección y apoyo como refugios y asistencia médica para las sobrevivientes.

    Turquía fue el primer país que firmó y ratificó este tratado crucial que lleva el nombre de su ciudad más icónica y, si no revoca su decisión, será el primer país en abandonarlo.
    Amnistía Internacional

    El Convenio, que entró en vigor en 2014, ya ha sido ratificado por 34 países del Consejo de Europa, y 12 más lo han firmado, pero no lo han ratificado aún. Ayer, el Parlamento de Lichtenstein aprobó su ratificación.

    En marzo, el gobierno turco trató de justificar su decisión de retirarse del Convenio afirmando que se está utilizando para “normalizar la homosexualidad”, lo que, alegan, “es incompatible con los valores sociales y familiares de Turquía”. Pueden ver la respuesta de Amnistía Internacional aquí.

    Turquía fue el primer país que firmó y ratificó este tratado crucial que lleva el nombre de su mayor y más icónica ciudad y, si no revoca su decisión, será el primer país en abandonarlo.

    ACCIONES

    Habrá protestas y acciones de calle frente a la embajada de Turquía organizadas por grupos de Amnistía Internacional de varios países, como Reino Unido, Países Bajos, Austria, Italia y Bélgica (véase https://drive.google.com/drive/folders/1FEUytN_TulAgnzmFyDR7OLpLPkLXHs8K)

    En otros países, las y los activistas mostrarán su solidaridad con los grupos de derechos de las mujeres de Turquía y apoyarán el Convenio de Estambul en Internet usando la etiqueta #IstanbulConventionSavesLives (el Convenio de Estambul salva vidas).

    Hoy, el director de Amnistía Internacional para Europa, Nils Muižnieks, hablará en la conferencia organizada por la Presidencia alemana del Consejo de Europa para conmemorar el X aniversario del Convenio de Estambul. Vean: https://www.coe.int/en/web/istanbul-convention/conference-gender-equality-and-the-istanbul-convention-a-decade-of-action

    Toda la información e imágenes son de AMNISTÍA INTERNACIONAL.
    Link original: https://www.amnesty.org/es/latest/news/2021/05/turkey-women-across-the-world-demand-reversal-of-decision-to-quit-genderbased-violence-treaty/

  • Mujeres que no son madres: el estigma de una decisión

    Mujeres que no son madres: el estigma de una decisión

    Las mujeres que deciden no tener hijos se enfrentan a luchas internas y silenciosas, así como a la sociedad que las califica de ‘egoístas’ e ‘incompletas’.

    “La maternidad es un evento en el ciclo de vida de las mujeres que modifica sustantivamente el ritmo de sus vidas en lo social y económico”, señala un comunicado sobre el Día de las Madres del Instituto Nacional de las Mujeres, y quizá es por ello que, hoy en día, aumenta el número de quienes toman conciencia sobre esta frase y tienen en sus manos la decisión de no tener hijos.

    Pero, ¿por qué las mujeres de nuestro tiempo no quieren tener hijos? La pregunta es concisa y directa, pero la respuesta está frente a nosotros: porque hoy más que nunca, el poder de la elección de las mujeres ha tomado mayor resonancia, así como la lucha por los derechos sobre su cuerpo y su relevancia en la sociedad.

    No Maternidad

    mujeres que no son madres
    Foto: Priscilla Du Preez/Unsplash

    En los años 90, en Estados Unidos surgió un movimiento de mujeres que por deseo y convicción no querían ser madres, pronto se les conoció como mujeres NoMo (No Mother o No Madres). En México, su único equivalente es el concepto de la No Maternidad, el cual, recientemente toma relevancia para dignificar a aquellas mujeres que son señaladas por su decisión.

    Ante este panorama, Verónica Aragón, psicóloga y maestrante en sexología clínica, señaló en entrevista para Forbes Life Latam, que algunos factores determinantes para que la nueva generación de mujeres decida no tener hijos, son aquellos que afectan su nivel de vida: “es una decisión que [también] tiene que ver con el poder adquisitivo, son generaciones más educadas pero que reciben menores sueldos”.

    La revolución de los métodos anticonceptivos, la educación sexual, dificultades en materia de salud, las cifras sobre la disparidad de salarios de mujeres versus hombres, así como la diferencia de carga de trabajo en casa entre las parejas con hijos (principalmente heterosexuales), son otros factores que las mujeres consideran en su decisión.

    La especialista coincide en que la decisión de no tener hijos es motivo de “señalamiento y estigmatización”, pues considerando que, en América Latina, la figura de la maternidad pesa sobre la cultura y se asume que es un papel determinante en la vida de la mujer. La mayoría de aquellas quienes no lo hacen “sufren en silencio la culpabilidad de no obedecer a la sociedad”.

    La No Maternidad también es motivo de violencia de género. Las mujeres sin hijos son señaladas por causa de aquellos constructos sociales disfrazados de tradición, por ejemplo, que “una mujer no estará completa sin un hijo. Pero eso no es tradición, es inserción social”.

    ¿Existe el ‘instinto maternal’?

    mujeres que no son madres
    Foto: Sharon McCutcheon/Unsplas

    Verónica Aragón señala que simplemente la respuesta es no. Existen estudios que señalan la nula evidencia de que las mujeres tengan un impulso instintivo por tener hijos, pero sí respaldan las respuestas maternales a los estímulos del bebé. Además, contrario a lo que se piensa, las madres no están preparadas cuidar de su descendencia, pero asumen el proceso de aprendizaje y adaptación constante.

    Dentro de este proceso, algunas mujeres también atraviesan por un sentimiento invisibilizado: el arrepentimiento. “Por supuesto que existen madres que se arrepienten de tener hijos, también sufren una estigmatización por considerarlas ‘egoístas’, pero es un tema del que casi nadie quiere hablar”.

    Este arrepentimiento no es igual a la ausencia de amor hacia los hijos, tiene que ver con las circunstancias en las que ocurre la maternidad, por ejemplo, la edad física y emocional: “ser madre también requiere de madurez emocional, espiritual y de conocimiento [sobre la maternidad]”, señaló.

    Otro de los factores que la especialista considera una “lucha interna” tiene que ver con la perdida de la individualidad de la mujer al convertirse en madres, pues culturalmente, reciben características de amiga, protectora, maestra, confidente, etc., pero difícilmente se le recuerda como mujer“antes de ser mamá, y de todo, somos mujeres y seres humanos”, concluyó.

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    Priscilla Du Preez/Unsplash

    Decidir no ser madre no debe ser motivo de señalamiento o rechazo, no es un problema de amor propio, mucho menos es un problema psicológico, se trata de que las mujeres ahora tienen la oportunidad de elegir si quieren o no dedicar su vida al cuidado y la crianza de un hijo o dar prioridad a su desarrollo humano o profesional. Ambas decisiones son posibles.

    Toda la información e imágenes son de FORBES.
    Link original: https://www.forbes.com.mx/forbes-life/salud-mujeres-que-no-son-madres-estigma-decision/

  • Rentables las empresas lideradas por mujeres: especialista en emprendimiento

    Rentables las empresas lideradas por mujeres: especialista en emprendimiento

    Las empresas fundadas por mujeres emprendedoras se están colocando como las más rentables y con mayores márgenes de ganancia, en comparación con las dirigidas por hombres, lo que se traduce en beneficios económicos hasta por 1.8 mil millones de dólares a nivel mundial, reveló Yanira Deandar Ayala, especialista en emprendimiento femenino.

    La CEO de la firma “Yelo”, compañía especializada en productos de refrigeración que fundó junto a su esposo Everardo Villarreal Salinas, explicó que de acuerdo con la Radiografía del Emprendimiento en México 2020, realizada por la Asociación de Emprendedores de México (ASEM), el 39 por ciento de las empresas del país fueron fundadas por mujeres.

    Romper las brechas de género e igualar la participación de las mujeres en el emprendimiento, afirmó la especialista, es clave para impulsar el desarrollo económico del país, sobre todo luego de la pandemia por Covid-19 que dejó a un gran número de mexicanos sin empleo o redujo su nivel de ingresos.

    Consideró que este es un momento clave para fomentar e impulsar a las mujeres emprendedoras, lo cual no sólo contribuirá a la reactivación económica, sino también a mejorar la calidad de vida para el 28.5 por ciento de los hogares en México en los que el único sustento es una mujer.

    Deandar Ayala dio a conocer que, en el reporte Mujeres emprendedoras: una oportunidad de inversión inexplorada, del Banco Interamericano de Desarrollo (BID), se expone sobre la importancia de apostar por el emprendimiento femenino, ya que a pesar de que en América Latina ellas reciben hasta 50 por ciento menos de inversión, sus empresas logran ingresos hasta 20 por ciento mayores que sus pares masculinos.

    Señaló que hablar de los casos de éxito de mujeres emprendedoras es el primer paso para visibilizar su labor y darles el reconocimiento que merecen, además de que inspira a muchas otras que apenas están empezando a emprender o que ya dirigen un negocio.

    Alertó que la equidad de género en el mercado laboral aun tiene marcadas diferencias, ya que según el estudio Brechas para el Emprendimiento, realizado por la Asociación de Emprendedores de Latinoamérica (ASELA), se plantea que en la región las brechas de género son más acentuadas, pues “si bien las mujeres representan el 40 por ciento de la población económicamente activa en América Latina, su participación como emprendedoras no supera el 15 por ciento”.

    Yanira Deandar Ayala concluyó que incluir acciones efectivas de equidad de género en las empresas y las políticas públicas, ayuda a aumentar la participación femenina en el emprendimiento nacional y con ello el valor de las empresas. “Las mujeres en puestos de liderazgo empresarial son claves para crear empresas más sólidas, pues aportan una visión que enriquece la toma de decisiones, por su tendencia a crear equipos de trabajo más equitativos y con ambientes laborales que fomentan el desarrollo, respeto y creatividad”.

    Toda la información e imágenes son de DINERO EN IMAGEN.
    Link original: https://www.dineroenimagen.com/empresas/rentables-las-empresas-lideradas-por-mujeres-especialista-en-emprendimiento/133399

  • Violencia contra las mujeres: el Convenio de Estambul salva vidas

    Violencia contra las mujeres: el Convenio de Estambul salva vidas

    Después de 10 años y en pandemia, el Convenio de Estambul se vuelve más importante que nunca como instrumento para proteger la vida de las mujeres en Europa, dice Dunja Mijatovic, comisaria de DD.HH. del Consejo Europeo.

    Este 11 de mayo, el Convenio del Consejo de Europa para prevenir y combatir la violencia contra las mujeres y la violencia doméstica, o Convenio de Estambul, cumple 10 años. Este aniversario llega en un momento problemático para las mujeres en Europa. En años recientes, movimientos ultraconservadores intentaron minar los derechos de las mujeres en el continente. La pandemia de COVID-19 complicó más esa situación. El progreso en cuanto a equidad de género en el ámbito laboral se ha invertido, y los obstáculos para acceder a la salud sexual y reproductiva se han multiplicado.

    El Convenio de Estambul representa un instrumento único a disposición de los países europeos para poder revertir esa situación. Al establecer que la violencia contra las mujeres es una violación de los derechos humanos, socava todo tipo de caracterización de esta como un asunto privado o familiar. Ya sea violencia doméstica, mutilación genital femenina, matrimonio forzado, acoso sexual, violencia psicológica, persecución, esterilización forzada o aborto forzado, la Convención de Estambul obliga a los Estados europeos a enfrentar todas las manifestaciones de violencia contra las mujeres de modo amplio y abarcador.

    La prevención de la violencia es el primer paso

    La Convención provee un enfoque centrado en la víctima, diseñado para aumentar la seguridad de las mujeres, previniendo la violencia, protegiendo a las víctimas y colocando la responsabilidad en los perpetradores. Muy importante es que subraya que, para lograr una prevención eficaz de la violencia contra las mujeres, se requiere que los Estados mejoren la equidad de género atacando problemas como las profundas desigualdades y estereotipos concernientes a los roles de mujeres y hombres en la sociedad.

    Dunja Mijatovic, comisaria para los Derechos Humanos del Consejo Europeo.Dunja Mijatovic, comisaria para los Derechos Humanos del Consejo Europeo.

    La implementación de la Convención de Estambul ya ha dado resultados positivos. Condujo a un incremento del número de refugios para víctimas de violencia en Albania, Finlandia, Montenegro, Portugal y Turquía. También se han establecido servicios especiales de apoyo para víctimas de violencia sexual en Austria, Dinamarca, Finlandia, Portugal y, recientemente, en España.

    Algunos países -incluyendo Austria, Dinamarca, Alemania, Irlanda, Malta, Portugal y Suecia- enmendaron su legislación sobre violencia sexual y violación para acercarla a los estándares de la Convención de Estambul, estableciendo que la falta de consentimiento por parte de la víctima debe ser un elemento constituyente de tales delitos, en lugar del uso de la fuerza o amenazas por parte del perpetrador. Otra formas de violencia contra las mujeres, como la persecución o acecho (stalking), son penalizados en Albania, Portugal y Montenegro.

    La implementación de la Convención también condujo a un mejor entrenamiento de los policías y del personal judicial en lo referente a la violencia motivada por el género, y a una persecución más efectiva de la violencia contra las mujeres.

    Leyes nacionales no van lo suficientemente lejos

    Si bien la pandemia ha actuado como un cristal de aumento para las lagunas preexistentes en las políticas para abordar la violencia contra las mujeres, también ha destacado el papel crucial que desempeñan algunas de las medidas adoptadas hasta ahora para implementar el Convenio de Estambul. Varios Estados que habían hecho de la eliminación de la violencia contra la mujer un objetivo político importante, pudieron en el contexto de los confinamientos priorizar acciones para brindar seguridad y apoyo a las víctimas de la violencia, por ejemplo, a través de nuevos mecanismos de alerta.

    A pesar de los beneficios que demostró tener el Convenio de Estambul para los derechos de la mujer, tergiversaciones de este siguen siendo difundidas por quienes se oponen a la ratificación.

    Con el pretexto de defender los valores y las tradiciones familiares, a menudo esconden una agenda misógina y homofóbica. A esos opositores, vale la pena repetirles: no es un tratado de lucha contra la violencia doméstica lo que destruye a las familias, sino la violencia doméstica en sí.

    Otros argumentan que la ratificación de un instrumento internacional no es necesaria porque los países ya tienen leyes nacionales que brindan suficiente protección contra la violencia doméstica. Ese argumento también fue utilizado cuando Turquía se retiró de la Convención en una medida lamentable, el pasado abril.

    Ese argumento falaz oculta el hecho de que las leyes nacionales existentes son mucho menos abarcadoras que el Convenio de Estambul, tanto en lo que respecta a las formas de violencia contra las mujeres que cubren dichas leyes, como a las medidas que los Estados del Convenio necesitan adoptar para implementarlo. Además, la Convención de Estambul prevé que un grupo independiente de expertos internacionales evalúe la implementación por parte de cada uno de los países, así como una obligación de cooperación entre todos los Estados miembros.

    La implementación del Convenio de Estambul salva vidas. Los Estados tienen el deber moral y legal de no fallarles a las mujeres y niñas. Deben ratificar y seguir aplicando el Convenio de Estambul. No hay argumentos convincentes para no hacerlo.

    (cp/ers)

    Toda la información e imágenes son de DW.
    Link original: https://www.dw.com/es/violencia-contra-las-mujeres-el-convenio-de-estambul-salva-vidas/a-57498309

  • ONU aprueba Día Internacional de Mujeres Juezas

    ONU aprueba Día Internacional de Mujeres Juezas

    En el marco de la 15ª. Reunión Bienal de La Asociación Internacional de Mujeres Juezas (IAWJ), denominada “Celebrando la Diversidad”, celebrada en Aukland, NZ, del 6 al 8 de mayo del presente año, calendario de México, del 7 al 9 de Nueva Zelanda, en la que se dieron cita, de manera presencial y virtual, más de mil impartidores de justicia, provenientes de todo el mundo, se dio a conocer la resolución de fecha 26 de abril de 2021, de la Organización de las Naciones Unidas (ONU) por la que proclamó el 10 de marzo de cada año: “Día Internacional de Mujeres Jueces”.

    El objetivo de este encuentro es incentivar la formación de asociaciones de juzgadores(as) en los diversos países afiliados para formar una red cada vez mayor de impartidores de justicia que intercambien experiencias jurisdiccionales y mejores prácticas; promuevan programas de educación judicial que garanticen, respeten y protejan los derechos humanos; eliminen los prejuicios de género dentro de los sistemas judiciales; promuevan la igualdad de acceso a la justicia para los justiciables, con especial énfasis en la eliminación de estereotipos para las mujeres; promuevan el liderazgo judicial y coadyuven a una mejor capacitación de nuestros miembros y asociaciones afiliadas.

    En el segundo día de esta reunión, la presidenta saliente de la IAWJ, Jueza Vanessa Ruiz (EU); el Presidente del Supremo Consejo Judicial de Qatar, Hassan Bin Lahdan Alhassan Almohanadi, la Embajadora, Alya Ahmed Said Al-Thani, Roberta Solís de la Red Global de Integridad Judicial, Marco Teixeira del Programa Global para la Implementación de la Declaración de Doha y la Jueza de la Corte Penal de Primera Instancia de Qatar, Fátima AlMal, comunicaron oficialmente la resolución de la Asamblea General de la ONU, de proclamar el 10 de marzo de cada año, como “el día internacional de la mujer jueza”.

    La Jueza Ruiz recordó que la idea de solicitar a la ONU la proclamación de un día al año en reconocimiento a las mujeres juzgadoras surgió como un producto de la Segunda Reunión de Alto Nivel de la Red Global de Integridad Judicial, celebrada en febrero de 2020, en Doha Qatar.

    La Asamblea General de la ONU fundó su determinación en lo establecido en diversas resoluciones del Consejo Económico y Social; sobre la proclamación de años y aniversarios internacionales; que la igualdad de género y el empoderamiento de las mujeres será crucial para contribuir al progreso; así como, la incorporación sistemática de una perspectiva de género en la implementación de la Agenda 2030 para el desarrollo sostenible.

    La Asamblea consideró, además, el bajo índice de participación de las mujeres como juezas y en los altos cargos de los tribunales supremos; en atención a la labor, en este sentido, de la Red mundial de Integridad Judicial; y, reafirmando el compromiso de que la participación activa de las mujeres, en igualdad de condiciones con los hombres, en todos los niveles de toma de decisiones es fundamental para el logro de la igualdad, el desarrollo sostenible, la paz y la democracia.

    Resolución en la que invita a los Estados miembros, organizaciones internacionales y regionales y a la sociedad civil, organizaciones no gubernamentales, instituciones académicas, asociaciones de mujeres jueces y partes interesadas, conmemorar ese día de la forma en que consideren más apropiada, a través de actividades de educación y sensibilización, a fin de promover la participación plena e igualitaria de la mujer en todos los niveles de la labor jurisdiccional.

    El esfuerzo de la IAWJ y de la Red Global de Integridad Judicial que se cristalizó en la proclamación de un día al año para reconocer la labor de las juezas mujeres, contribuirá a visibilizar su presencia y a lograr, en mayor número, su ya impostergable participación.

    Ministra en retiro.
    @margaritablunar min.mblr@gmail.com 

    Toda la información e imágenes son de EL UNIVERSAL.
    Link original: https://www.eluniversal.com.mx/opinion/margarita-luna-ramos/onu-aprueba-dia-internacional-de-mujeres-juezas

  • Gobierno incluirá a mujeres embarazadas en siguiente etapa de vacunación COVID en México

    Gobierno incluirá a mujeres embarazadas en siguiente etapa de vacunación COVID en México

    A partir de la novena semana de gestación serán candidatas a recibir el inmunizante.

    El Gobierno de México anunció que las mujeres embarazadas podrán vacunarse contra COVID-19 en la siguiente etapa de inmunización.

    “Se ha decidido incluir a todas las mujeres embarazadas, independientemente de su edad. Serán candidatas a recibir la vacuna posterior a la novena semana de embarazo”, dio a conocer Ruy López Ridaura, titular del Centro Nacional de Programas Preventivos y Control de Enfermedades, en la ‘mañanera’.

    En ese sentido, indicó podrán recibir cualquiera de las vacunas contra el coronavirus que estén disponibles en el país.

    “Pueden recibir cualquier tipo de vacuna. Todas las vacunas que tenemos disponibles en México son seguras y se pueden aplicar durante el embarazo”, destacó López Ridaura.

    El funcionario detalló que esta decisión se tomó con base en evidencia de que la infección por el virus SARS-CoV-2 durante el embarazo es más grave y hay mayor riesgo.

    ¿Cuáles son los pasos a seguir?

    -Lo primero es ingresar al sitio web del Gobierno para encontrar la liga directa al preregistro.

    -Debe esperar cuándo llegan las vacunas y cuándo se activan los centros de vacunación en los municipios y entidades federativas.

    -Aquella mujer que recibió la vacuna, deberá avisar a su médico que fue inoculada en la primera visita de vigilancia prenatal posterior a haber recibido el biológico.

    -Para recibir orientación sobre datos de alarma puedes llamar a la línea materna 800 6283 762.

    Toda la información e imágenes son de EL FINANCIERO.
    Link original: https://www.elfinanciero.com.mx/nacional/2021/05/11/gobierno-incluira-a-mujeres-embarazadas-en-siguiente-etapa-de-vacunacion-covid-en-mexico/

  • #DíaDeLasMadres Publican libro para apoyar y reconocer lucha contra los feminicidios

    #DíaDeLasMadres Publican libro para apoyar y reconocer lucha contra los feminicidios

    “Cartas a las madres” visibiliza la lucha de las mamás de Lesvy Berlín, Mara Castillo y de todas aquellas mujeres que exigen justicia por el feminicidio de sus hijas.

    La Cátedra Rosario Castellanos de Arte y Género de la Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM), el Laboratorio Curatorial Feminista (LCF) y el Centro Cultural Tlatelolco publicaron un libro que apoya y reconoce la lucha contra los feminicidios en México.

    Cartas a las madres reúne los textos de las autoras Mónica Mayer, Andrea Casas Herrera, Francesca Gargallo Celentani, Gabriela Huerta Tamayo, Margarita Robles Ambrosio, Natalia Stengel Peña, Iliana Hernández, Jennifer Esmeralda González Aquino y Vanessa Hernández Reyes, quienes reconocen la labor de las madres que han enfrentado la desaparición y muerte de sus hijas a manos de la violencia de género.

    “Es una recopilación polivocal que acompaña y patenta la lucha de las madres que, día con día, exigen justicia por el feminicidio de sus hijas, pero también es una reactivación a la lucha de todas”, expresó Julia Antivilo, coordinadora de la Cátedra Rosario Castellanos.

    Cartas a las madres tomó inspiración de “Cartas a mi madre”, obra de Mónica Mayer que formó parte del proyecto ¡Madres!, realizado en 1987 por Polvo de Gallina Negra, primer colectivo feminista de su tipo en México.

    “En algún punto la sociedad se olvidó que estas mujeres tienen un nombre, una personalidad, una actividad favorita, sentimientos y una familia; por ello es una tarea fundamental en la lucha por el respeto a los derechos humanos apoyar sus causas, sus colectivos y su búsqueda, pero también reconocerlas y acompañarlas”, dijo.

    El material, que se encuentra para descarga gratuita en la página de LibrosUnam, reconoce y enaltece la lucha de las mamás de Lilia Alejandra García, Lesvy Berlín, Éricka Pérez, Ana María Gadea Villalobos, Mara Castillo, María de Jesús Jaimes Zamudio y “de todas las madres que debieron afrontar la pérdida de una hija o, más bien, sobrevivir al usurpamiento de una hija”.

    “Visibilizar los logros y protagonismo de las madres que continúan en la lucha es una urgencia, más cuando se intenta desprestigiar sus rabias, sus persistencias, sus formas de poner el cuerpo en esta lucha; son inspiración para todes nosotres”, explicó Antivilo.

    Por: Azaneth Cruz 

    Toda la información e imágenes son de HERALDO DE MÉXICO.
    Link original: https://heraldodemexico.com.mx/cultura/2021/5/10/dia-de-la-madre-publican-libro-para-apoyar-reconocer-lucha-contra-los-feminicidios-294141.html

  • Madres de personas desaparecidas protestan afuera de Palacio Nacional

    Madres de personas desaparecidas protestan afuera de Palacio Nacional

    Madres de personas desaparecidas protestaron este 10 de mayo afuera de Palacio Nacional, exigiendo vetar la nueva Ley de la Fiscalía General de la República (FGR), aprobada por el Senado hace algunos días.

    Mientras en la conferencia mañanera de este lunes se ofrecía un concierto para celebrar el 10 de mayo, ofrecido por el residente Andrés Manuel López Obrador, madres de personas desaparecidas realizaban su protesta.

    Las manifestantes fueron atendidas por Olga Sánchez Cordero, secretaria de Gobernacion (Segob), y el subsecretario Alejandro Encinas., a quienes entregaron sus demandas.

    La nueva Ley de la Fiscalía General de la República ha sido criticada por activistas y organizaciones o gubernamentales por reducir las responsabilidades del organismo en cuanto a la búsqueda de desaparecidos.

    El texto inicial, propuesto por el fiscal general Alejandro Gertz Manero provocó el rechazo de activistas y Organizaciones no gubernamentales, pues buscaba sacar a la Fiscalía de los diferentes organismos públicos de protección de derechos humanos para darle mayor autonomía.

    Finalmente, el Congreso decidió mantener el Ministerio Público dentro del Sistema Nacional de Búsqueda de Personas Desaparecidas y del Sistema Nacional para Prevenir y Erradicar la Violencia contra las Mujeres, pero activistas denuncian que se redujeron sus competencias.

    El texto aprobado establece que la Fiscalía deberá garantizar “los derechos de las víctimas”, brindarles “protección”, tomar “en consideración” las propuestas de investigación que planteen y darles acceso a registros.

    No obstante, la Fiscalía General solo atraerá casos de desaparición con “gran relevancia social” o “violación grave de los derechos humanos”, dejando la investigación en manos de los Ministerios Públicos estatales, muchas veces sobrepasados o corrompidos, denuncian familiares de las víctimas.

    México afronta una crisis histórica de desapariciones con un registro de 86 mil 663 personas no localizadas desde 1964.

    Toda la información e imágenes son de LÓPEZ DÓRIGA.
    Link original: https://lopezdoriga.com/nacional/madres-de-personas-desaparecidas-protestan-afuera-de-palacio-nacional/

  • Viven en México 35.2 millones mujeres con al menos un hijo

    Viven en México 35.2 millones mujeres con al menos un hijo

    De las 46.8 millones de mujeres de 15 años y más que viven en México, 35.2 millones son madres con al menos un hijo vivo.

    De acuerdo con el Instituto Nacional de Estadística y Geografía (Inegi), en el país viven 48.6 millones de mujeres y de las que tienen hijos, el 47% están casadas y en el caso de quienes hablan lengua indígena, 28% se encuentran en unión libre y 14% son viudas.

    El instituto refiere que las mexicanas cada vez tienen menos hijos si se compara con la tasa global de natalidad de 1999 que era de 2.86 y se redujo a un poco más de la mitad con 1.88 por cada mil mujeres en 2019.

    Para las mujeres que hablan lengua indígena esta reducción fue más acentuada ya que en 2020 se redujo a 2,85 en comparación con los 4.15 hijos por cada mil mujeres del 1999. Mientras que para las mujeres que no son hablantes de lengua indígena fue de 1.82 hijos por mujer en 2019 y de 2.76, en 1999.

    En este sentido destaca promedio de hijos que tienen las mexicanas continúa a la baja desde el año 2009 al pasar de 7 a 2 menores.

    Entre los factores destacan los cambios socioeconómicos que aumentaron la escolaridad en la población, pero sobre todo, que la mujer tenga una mayor participación económica, social y política.

    Poblanas reconocen que la frase, la “familia pequeña vive mejor”, aplica en estos tiempos en los que la situación económica y sanitaria es complicada.

    La Encuesta Nacional de Ocupación y Empleo (ENOE) estimó para el primer trimestre de 2019, 7.4 millones de madres de 15 a 49 años que son trabajadoras subordinadas y remuneradas.

    Además, dos de cada diez madres de 15 a 49 años que son trabajadoras subordinadas y remuneradas cuentan con las prestaciones de guardería y cuidados maternos.

    En el país el 15% de las mujeres embarazadas presentan alguna complicación mortal que requiere atención médica especializada. De acuerdo con la Organización Mundial de la Salud (OMS) las principales emergencias obstétricas se relacionan con trastornos hipertensivos, hemorragias e infecciones, a las cuales se suman el embarazo ectópico, el aborto séptico y la enfermedad tromboembólica venosa.

    Toda la información e imágenes son de 24 HORAS PUEBLA.
    Link original: https://24horaspuebla.com/2021/05/09/viven-en-mexico-35-2-millones-mujeres-con-al-menos-un-hijo/